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De Jésus à Paul. Les débuts du Christianisme

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freyr1978

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Mon blog a pour but de présenter une étude historique des actes et dits du Jésus historique, et de montrer les dernières approches de la recherche historique sur le personnage. Surtout à un moment où la hiérarchie catholique semble revenir en arrière sur la recherche historique sur Jésus. Ce blog n'a pas pour but d'heurter d'autres chrétiens, étant moi-même un catholique pratiquant, mais je pense qu'une foi doit aussi se nourrir à travers le contexte historique qui a marqué le christianisme primitif. C'est pourquoi, je m'intéresserai aussi aux premières communautés chrétiennes et au personnage de Paul, qui fut loin de faire l'unanimité dans la première communauté chrétienne. Et j'espère que ce blog pourra enrichir la perception historique des débuts du christianisme de certains et enrichira la foi des autres qui découvriront Jésus dans toute son humanité, même si certaines de mes théories seront loin de faire l'unanimité.

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Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)

Maria Antonia Josepha Johanna de Habsbourg-Lorraine dite « Marie-Antoinette » naît au palais de la Hofburg à Vienne le 2 novembre 1755, au lendemain du tremblement de terre de Lisbonne (Portugal, alors gouverné par son parrain et sa marraine). Elle est la quatrième fille d'une famille de 14 enfants (9 filles, 5 garçons), nées d'un des plus puissants couples d'Europe, François Ier de Lorraine, empereur du Saint-Empire romain germanique, de Marie-Thérèse, impératrice d'Autriche, roi de Hongrie, et reine de Bohème.
L'archiduchesse d'Autriche Antonia, très proche de sa plus jeune s½ur aînée, Marie-Caroline, qui deviendra reine de Naples en épousant Ferdinand Ier des Deux-Siciles, passa une enfance heureuse à la cour de Vienne entre les palais de la Hofburg, Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)où elle est née, et de Schönbrunn, résidence d'été des Habsbourgs, avec une étiquette beaucoup moins stricte que celle de Versailles, où elle reçoit une éducation assez négligée basée plus particulièrement sur l'apparence (maintien, danse, musique) que sur la connaissance (à l'image de toutes les princesses européennes de l'époque). Désormais veuve depuis le décès de François Ier (1765), extrêmement douloureux pour Marie-Antoinette, Marie-Thérèse prend en mains la vie de ses filles. Marie-Antoinette, comme sa s½ur Marie-Caroline, est désormais destinée à servir la politique de la Maison d'Autriche, mais sa mère découvre qu'elle sait à peine écrire en allemand, et révèle une absence d'intérêt pour les études. Elle décide alors de lui donner un complément de formation par le biais de l'émissaire de Louis XV, l'abbé Vermond, quand en 1769, à la suite de négociations menées par Choiseul, pour permettre le rapprochement de la monarchie française des Bourbons avec celle des Habsbourg, elle fut choisie par sa mère pour porter les espérances d'un mariage avec le Dauphin Louis Auguste, duc de Berry, futur Louis XVI, troisième fils du dauphin Louis, mort cinq ans plus tôt, et de Marie-Josèphe de Saxe, qui symbolise la fin d'une série de guerres opposant, depuis des siècles, entre les deux dynasties.
 
Le 17 avril 1770, Marie-Antoinette, qui a quinze ans, formule sa renonciation à la succession d'Autriche, tandis que le 19 est célébré, dans la capitale autrichienne, son mariage par procuration avec le Dauphin, demeuré à Versailles, et qui a alors seize ans. Le départ pour la France a lieu dès le surlendemain. Le 16 mai est célébré à Versailles le mariage officiel. Les fêtes données à cette occasion sont magnifiques, « impayables » selon le mot du contrôleur général Terray (20 millions) ; à Paris, le feu d'artifice est l'occasion d'une bousculade monstre dans la rue Royale qui fait cent trente-deux morts, victimes de l'imprévoyance de la police. La fraîcheur, Le charme juvénile de la jeune archiduchesse – elle a la peau claire, les cheveux blonds et les yeux bleus - conquiert bien vite le roi Louis XV, mais aussi l'ensemble de la Cour et des Parisiens qui lui font bon accueil. La dauphine peut alors apparaître comme un atout pour une monarchie française dont le vieux roi libertin est devenu très impopulaire.
 
Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)Mais, du fait de la légèreté de son caractère, bien excusable à son âge, et de son aspiration au bonheur, cette idée nouvelle née des Lumières, la dauphine, qui n'a pas été préparée à son rôle, a du mal à s'habituer à sa nouvelle vie qui est une préparation à son futur rôle de reine de France qui est purement représentatif. D'autant que son mariage met aussi en lumière les incapacités de son « prince charmant ». Intelligent, déjà cultivé, le petit-fils de Louis XV, doté d'une personnalité introvertie, se montre gauche avec sa jeune épouse : au bout de trois mois, le mariage n'est toujours pas consommé. Consultés, les médecins rassurent le roi : physiquement, il n'y a pas d'obstacle. Il se trouve seulement que, contrairement à la tradition Bourbon, le jeune Louis n'est guère porté sur la chose, en grande partie du fait que devenu dauphin dès 1765, à la suite des décès successifs de son père et d'un frère aîné, il grandit dans une atmosphère familiale difficile, jalonnée de jalousies, et avec une éducation très conservatrice et très religieuse - mais aussi la plus castratrice – dans une cour dominée par la Marquise de Pompadour qui renforcent les inhibitions dont il souffre et lui ont donné la méfiance des femmes et du parti autrichien, représentée par le protégé de la Pompadour, Choiseul, et le goût pour l'étude. « Ma s½ur (qui ne comprend guère la froideur que lui témoigne son époux) avec cela, écrit son frère Joseph II en 1777, a peu de tempérament et ils sont deux francs maladroits ensemble. ». Dans ces conditions, son mari l'évite partant très tôt chasser et s'adonnant à ses autres passions que sont la marine (il est un lecteur des voyages de Cook), la géographie et les mathématiques. Mais le couple se rapproche petit à petit, partageant leur lit (le mariage est consommé qu'en juillet 1773 mais, d'après la correspondance de Marie-Antoinette à sa mère « il n'en [est] pas encore résulté les suites qu'on aurait pu s'enpromettre») et une exécration commune contre les m½urs libertines de la cour et de Louis XV qui affiche sa liaison avec sa favorite Mme Du Barry.
 
Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)Mais c'est une tête légère – une « tête à vent » d'après son frère Joseph II-, dont l'esprit frondeur, caustique, qui se laisse vite entraîner dans les coteries et les intrigues, notamment par son beau-frère, le comte d'Artois, et le mépris des règles de l'étiquette, en fait les gênes qu'elle lui imposait, pour les règles de préséance qui n'étaient pas favorables aux princes lorrains ses parents ou à ses protégés personnels, par exemple la  vis-à-vis des personnes qu'elle ne tient pas en grâce, lui valent bien vite l'inimitié d'une partie de la « Vieille Cour », autour du parti dévôt, et de Mesdames tantes, filles du roi, aigries et médisantes, qui feignent de lui témoigner de l'affection, car Archiduchesse d'Autriche, arrière-petite nièce de Louis XIV, par sa grand-mère paternelle Élisabeth Charlotte d'Orléans Duchesse de Lorraine et de Bar, objet vivant du « renversement des alliances » du roi Louis XV, elle attire dès son arrivée l'inimitié d'une partie de la cour, qui lui prête « l'hermaphrodisme politique » prêté à son ambitieuse et charmeuse mère, et bientôt réactivé par le premier partage de la Pologne.
Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)D'autant que Dauphine et Dauphin de France incarnent très vite ensemble une cour radieuse, jeune, qui recherche de nouveaux plaisirs qui se retrouvent très vite de ce fait en concurrence avec la puissante favorite du roi, la comtesse Du Barry, qui n'a pas été choisi par le parti de Lorraine, auquel appartient la future souveraine, et qui craignait donc pour sa faveur et fit tomber en disgrâce moins d'un an après le mariage, suite à une cabale, le duc de Choiseul, qui avait permis le rapprochement de la France avec l'Autriche, augmentant ainsi la ranc½ur de la jeune Dauphine qui se refuse à lui adresser la parole jusqu'en 1772, et apparaît pour le chef naturel, sans le vouloir, de la faction de l'imprudent ministre exilé.
C'est pourquoi, pour se divertir, Marie-Antoinette, jeune, frivole et railleuse, se réfugie dans son amitié avec sa chère Marie-Thérèse, Princesse de Lamballe, goûte dans l'insouciance à tous les plaisirs de la cour, se jetant dans les fêtes, bals, tables de jeu où elle perd déjà des sommes énormes, et en se rendant souvent à Paris, ainsi que le lui permettait Louis XV, y fréquentant ainsi la Comédie Française et l'Opéra, avec ses compagnons favoris, avides et libertins, parmi lesquels son compagnon de jeux favoris, le comte d'Artois jusqu'à son mariage avec Marie-Thérése de Savoie le 8 novembre 1773, qui font d'autant plus jaser que l'on connaît ses problèmes conjugaux et qu'elle ne cède pas aux odieuses calomnies qui ne tardèrent pas à compromettre sa réputation au sein de la Cour. A ces critiques, elle répond, forte de son honnêteté, et orgueilleuse, ne cédant : « Que voulez-vous, j'ai peur de m'ennuyer, c'est tout. »
 
Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)Ce qui explique qu'elle subisse d'énormes pressions de la part de l'ambassadeur d'Autriche, le comte Mercy d'Argenteau, à qui l'a confié Marie-Thérèse et auquel Marie-Antoinette n'hésitera jamais à se confier, et dont les mises en garde seront toujours judicieuses lorsqu'il s'agit de l'attitude à adopter avec son époux, avec le roi, les princes, les princesses ou les courtisans (mais pas en politique), et du chancelier Kaunitz. En effet, sa mère Marie-Thérèse, qui veut que la future reine soit un agent au service des Habsbourg sur l'échiquier européen, lui conseille de moins dépenser, d'avoir plus de considération pour le roi (et sa favorite la comtesse Du Barry, qui était devenue sa compagne officielle, la forçant en 1772 à lui adresser la parole pour ne pas effaroucher le roi ce qu'elle fera avec ces quelques mots « il y a bien du monde à Versailles aujourd'hui », mais entière et honnête, elle s'en sentira profondément humiliée) et pour l'étiquette, Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)et lui reproche sans cesse son incapacité à « inspirer la passion» de son mari, allant jusqu'à dire directement qu'elle avait perdu toute sa grâce. Les recommandations et conseils maternels n'ont pas beaucoup de poids et Marie-Thérèse, inquiète de son attitude qui risquent de la rendre ridicule, « ni aimée, ni estimée », noie Mercy d'Argenteau, et sa fille sous une volumineuse correspondance. Selon l'auteur du livre regroupant cette correspondance : « Ces documents originaux ne se contentent pas de nous introduire dans son intimité, ils nous révèlent aussi comment Marie-Antoinette, dépourvue d'expérience et dénuée de culture politique, fut manipulée par sa famille autrichienne à laquelle elle demeura toujours attachée ».
Mais, malgré les critiques au sein de la Cour à son sujet, la dauphine elle-même était populaire parmi le peuple. Sa première apparition officielle à Paris le 8 Juin 1773 au palais des Tuileries a été considéré par de nombreux observateurs royaux un succès retentissant, avec un 50 000 personnes qui auraient crier pour la voir, facilement séduits par sa personnalité – elle a une réputation de dauphine au grand c½ur à l'image de son époux (secours aux blessés, remarque le poids des impôts qui accable le peuple français, évite certaines dépenses inutiles) - et sa beauté.

Marie-Antoinette, la reine qui n'avait pas compris son peuple ! (1ère partie)Honni de l'opinion, entouré de quelques courtisans fidèles, Louis XV mourut de la petite vérole le 10 mai 1774 après une longue agonie, et le dauphin devient roi sous le nom de Louis XVI. Les cérémonies de deuil sont longues, et l'avènement de ce couple (Louis XVI a 20 ans, Marie-Antoinette 19 ans) suscite le liesse populaire, salué comme la promesse d'un âge d'or. En effet, le jeune souverain, homme intelligent, studieux, vertueux et honnête, ayant peu de goût pour les représentations sociales inhérentes au « métier de roi » auquel il est mal préparé, nomme ministre d'État, Maurepas, disgracié en 1749, qui l'entoure de ministre réformateurs, Turgot, Malesherbes et Vergennes, et soucieux de faire taire les opposants à la politiques de réformes entreprises dans les dernières années du règne de Louis XV, lui conseille de rappeler les parlements exilés, une décision qui sera lourde de conséquences. De ce fait, les espoirs qui se portent sur le jeune couple sont sans réels fondements et retombent vite d'autant que Marie-Antoinette, anxieuse de devenir si jeune la souveraine du « plus beau royaume du monde », est loin de s'imposer dans ses nouvelles fonctions, tout comme son époux. N'ont-ils pas dit à la mort de Louis XV : « Mon Dieu ! gardez-nous, protégez-nous ! nous régnons trop jeunes. »
Et le comportement de Marie-Antoinette, qui ne change guère et prête à la calomnie, y sera pour beaucoup, participant ainsi à la désacralisation de l'image royale.
Tags : Histoire
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#Posté le mercredi 16 janvier 2013 05:14

Modifié le dimanche 05 mai 2013 08:06

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