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De Jésus à Paul. Les débuts du Christianisme

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freyr1978

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Mon blog a pour but de présenter une étude historique des actes et dits du Jésus historique, et de montrer les dernières approches de la recherche historique sur le personnage. Surtout à un moment où la hiérarchie catholique semble revenir en arrière sur la recherche historique sur Jésus. Ce blog n'a pas pour but d'heurter d'autres chrétiens, étant moi-même un catholique pratiquant, mais je pense qu'une foi doit aussi se nourrir à travers le contexte historique qui a marqué le christianisme primitif. C'est pourquoi, je m'intéresserai aussi aux premières communautés chrétiennes et au personnage de Paul, qui fut loin de faire l'unanimité dans la première communauté chrétienne. Et j'espère que ce blog pourra enrichir la perception historique des débuts du christianisme de certains et enrichira la foi des autres qui découvriront Jésus dans toute son humanité, même si certaines de mes théories seront loin de faire l'unanimité.

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Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !

Je vais vous proposer un article sur Spartacus et la guerre qu'il provoqua la troisième guerre servile (73-71).
Des origines de Spartacus, nous savons peu de choses, car les sources littéraires antiques sur ce dernier sont en effet peu nombreuses : quelques fragments des Histoires de Salluste (le seul contemporain) avec de nombreux détails, de Tite-Live, le livre I, 116-120, des Guerres civiles d'Appien, l'Abrégé d'histoire romaine de Florus, livre III, chapitre XXI et la Vie de Crassus, VIII-XI de Plutarque.
 
Cependant, on peut en dégager, certains éléments : Spartacus était peut-être son vrai nom car " si l'usage des surnoms (pour les gladiateurs) est très bien établi à l'époque impériale, une telle pratique n'était pas encore en vigueur sous la République. Ce nom dénote peut-être une origine aristocratique " (Éric Teyssier, Un esclave en route vers la gloire, in Spartacus. L'esclave qui fait trembler Rome, Historia Éditions, Paris, 2012, p. 20). Le nom thrace Spartokos est porté par cinq (ou six) rois de la dynastie des Spartokides (438-107 av. J. - C.), d'origine Thrace, dans le royaume du Bosphore : " Ce nom dénote peut-être une origine aristocratique " (Éric Teyssier, id., p. 20). Il serait peut-être né vers 100 avant J. – C., Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !mais " Tout au plus pouvons-nous établir une fourchette large entre 25 et 30 ans " (Éric Teyssier, id., p. 20), dans le pays des Maides (les Maidoi sur la carte à gauche), à proximité du fleuve Strymon (Plutarque, Vie de Crassus, VIII). Florus, historien romain du IIe siècle ap. J. - C., le décrit comme un berger thrace herculéen ; soldat auxiliaire dans l'armée romaine (un exemple qui ne sera pas unique comme le montre Vercingétorix et Arminius qui avait également servi dans les rangs romains), il n'a donc pu participer " aux grandes batailles, privilège des légionnaires - il suffit de relire César, La Guerre des Gaules pour s'en convaincre. Ils (les unités de socii, alliés) servent d'auxiliaires, gardent les ponts, les convois, les routes " (Yann le Bohec, Les éclairs de génie d'un foudre de guerre, in id, p. 46). Il déserta, devint brigand, fut repris et, réduit en servitude, réservé pour la gladiature. Dans les faits, on ne sait pas comment Spartacus est devenu un gladiateur, car une citation tirée d'une ½uvre perdue de l'agronome du Ier siècle, Varron, donne une version différente de ses antécédents : Spartacus aurait " été jeté sans avoir commis de faute dans la gladiature ", probablement fait prisonnier de guerre, si l'on suit Plutarque et Appien qui confirme cette version, peut-être en 75 lors de l'expédition en Dardanie, au nord de la Thrace, du gouverneur de Macédoine, Scribonius Curio. Catherine Salles et Éric Teyssier pensent que Spartacus était peut-être d'origine aristocratique car il aurait été " plus grec que barbare " et montait à cheval (Plutarque, id, XI), ce qui expliquerait que Salluste le décrivent comme un homme " doué d'une force et d'un courage au-delà de l'ordinaire " (Histoires, 3, 91).
 
Il échoue à Rome probablement en 74 pour être vendue comme esclave. Son sort n'a rien d'exceptionnel. L'esclavage antique était le fruit normal de la guerre, car le prisonnier de guerre devenait le plus souvent esclave. À partir du IIe siècle avant J.-C., le nombre des esclaves augmenta considérablement en Italie, à cause des guerres de conquête. Les sources évoquent un immense bétail humain : 150 000 Épirotes asservis par Paul Émile en 167, 50 000 Carthaginois mis à l'encan par Scipion Émilien en 146. Les razzias des pirates alimentaient également les marchés tels que Délos. En effet, devenu un phénomène massif (entre 32 et 50 % de la population totale entre les IIe-Ier siècle avant J.-C., d'après J. C. Dumont dans Servius), Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !l'esclavage contribue au développement d'un nouveau type d'agriculture, de domaines consacrés à la grande transhumance, à des productions de haut rendement (vigne, olivier), pour lesquels ces masses serviles étaient acquises par des propriétaires fonciers qui les utilisaient comme ouvriers agricoles, bergers. Les esclaves constituent également la main d'½uvre urbaine dans l'artisanat et le commerce. Les plus favorisés étaient domestiques dans les demeures urbaines. Si l'affranchissement (l'affranchi devient citoyen de plein droit) représente un espoir, seule la terreur et une implacable discipline pouvaient maintenir dans la soumission et la résignation ces masses d'étrangers asservis et transplantés, notamment dans les campagnes d'élevage extensif où ils représentaient jusqu'à 70 % de la population.
Les regroupements des esclaves en de vastes familae sont, en effet, ressentis comme un danger, mais l'extrême diversité de leurs origines ethniques explique également leur peu d'aptitude à s'unir dans des révoltes. Il y en eut cependant, en 198 à Préneste, près de Rome, , et en 185 en Apulie, mais elles furent aisément écrasées dans le sang (à Préneste furent exécutés 500 rebelles et il y eut 5 000 condamnations en Apulie), puis de nouveau dans le Latium, où les esclaves pasteurs devenaient volontiers brigands, pendant lesquelles les consuls de 143 et de 141 durent intervenir militairement.
 
Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !La concentration de très nombreux esclaves sur les immenses latifundia qui se constituaient en Sicile et en Italie du Sud allait permettre cependant de grands mouvements de révolte. Dans la seconde moitié du IIe siècle avant J.-C., la Sicile, où la situation paraît avoir été extrêmement pénible sous la férule de maîtres grecs, et qui était parcourue depuis 140, par des bandes de fugitifs, qui se livraient au saccage et à la destruction, fut agitée de façon endémique par des mutineries serviles. En 135, ce fut une véritable guerre qui éclata alors que Rome était engagée en Espagne dans une guerre de répression difficile, qui s'acheva en 133 après le long siège de Numance : l'esclave Eunous le Syrien, dévot de la déesse syrienne de la Fertilité, Atargatis, souleva et arma des milliers de ses compagnons et prit le titre de roi. Il fallut deux ans de longues opérations militaires pour en venir à bout en 132. L'alerte avait été assez chaude pour que le Sénat estimât nécessaire d'envoyer en Sicile une commission de dix sénateurs chargés de réorganiser la province. En fait, ces mouvements d'esclaves furent souvent récupérés par des hommes politiques, chez lesquels l'idéologie égalitaire était absente et qui enrôlaient les révoltés pour accroître leur puissance militaire. Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !Ce fut le cas avec Caius Marius. Aristonicos, fils naturel du roi de Pergame Eumenês II, se révolta contre la domination romaine, entraîna avec lui les esclaves, en les affranchissant et en leur promettant la création d'une cité égalitaire (131-127). À cette époque, une bouffée d'égalitarisme effleura quelques personnes cultivées, à l'instigation de philosophes, tel Blossios de Cumes, qui fut le maître de Tiberius Sempronius Gracchus, avant de mourir au service d'Aristonicos.
En 104, en Campanie éclata un soulèvement des esclaves, au départ entreprise individuelle d'un chevalier romain, Titus Vettius, amoureux d'une esclave, là encore pendant que Rome traversait un moment difficile : la guerre de Jugurtha venait à peine de se terminer et un an auparavant seulement, les légions romaines avaient subi une défaite une défait catastrophique face aux Cimbres à Arausio en Gaule. Les désordres gagnèrent la Sicile où une seconde guerre servile eut lieu : Salvius Tryphon et Athenion (experts, comme Eunous, en astrologie) armèrent 40 000 esclaves et ravagèrent toute l'île ; ce n'est qu'en 101 que les Romains purent mater les dernières bandes et envoyer les survivants nourrir les fauves aux jeux de la Ville.
 
Mais ces deux guerres serviles ont moins Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !frappé les esprits des Romains que celle livrée par Spartacus, qui a éclaté en Italie, et a menacé l'équilibre de la péninsule transalpine, car à son origine se trouve une forme particulièrement abjecte d'esclavage : la gladiature. En effet, Spartacus aurait subi la peine infamante, damnatio ad gladio, une sentence qui équivaut à une condamnation à mort, et est " en considération de sa force " (et aussi de son expérience militaire) vendu en 74 à un laniste de Capoue en Campanie, Gnaeus Lentulus Batiatus, avec sa femme, prêtresse de Dionysos (en fait le dieu thrace Sabazios), ce qui ferait de Spartacus un dévot du dieu.
 
La Campanie est alors le lieu des meilleurs écoles de gladiateurs (ludus), dont celle Batiatus, qui possédait 200 gladiateurs, principalement Gaulois et Thraces. Vieille tradition religieuse étrusque, le munus, combat public d'hommes armés, est également attesté, Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !à date ancienne, en Campanie (tombes peintes de Paestum et de Capoue au IVe siècle av. J. - C.), qui fut un temps sous domination étrusque. Il ne fait son apparition qu'en 264 à Rome, organisés pour les funérailles d'un Junius Brutus, sur l'initiative de ses fils, et avait été offert, les jeux devenant public en 105, dans la Rome d'avant la conquête de loin en loin. Au Ier siècle avant J.-C., les jeux autrefois funéraires étaient devenus les auxiliaires indispensables de la popularité des hommes politiques, du fait que c'était devenue le spectacle favori de la foule, dans la Ville et dans les cités italiennes. Les lanistes acquéraient et entraînaient des esclaves robustes (le plus souvent prisonniers de guerre) dans des écoles (ludus), où la vie (surveillance et mesures de sécurité rigoureuses, entraînement épuisant, régime alimentaire énergétique mais de goût exécrable) était extrêmement pénible. Ces derniers devaient passionner les foules sanguinaires par le spectacle de leurs combats et de leur mort dans l'amphithéâtre qui reconstitue les triomphes romains à travers une gladiature ethnique, avec les armures des Samnites, des Gaulois et des Thraces. Spartacus appartenait probablement à cette dernière catégorie de gladiateurs, mais probablement pas à celle des mirmillon comme l'évoque Florus, car elle n'apparait qu'en 25 au moment où se développe avec la professionnalisation de la gladiature, celle dite technique, et remplace celle des Gaulois.
 
Dans ces conditions, on peut comprendre qu'au début de l'été 73, Spartacus prenne la tête des deux cents gladiateurs du ludus, qui, mécontents de la façon dont ils sont traités par leur laniste, envisagent de s'évader, car Lentulus a commis " l'imprudence de concentrer dans son ludus des esclaves récemment privés de leur liberté et prêt à tout à échapper au sort infâme qui les attend. De plus, ces hommes partagent le même langage et les mêmes traditions " (Catherine Salles, in id., p. 40.) Et ils sont peut-être inspiré par la compagne de Spartacus, les éléments religieux jouant souvent un rôle déclencheur dans les révoltes serviles. Deux gaulois, Crixus - un Allobroge, peut-être capturé lors de la révolte de 77, et vendu comme esclave, se retrouvant dans un ludus de Capoue - et ¼nomaus - dont on ne sait rien, peut-être un galate (vu son nom), ou sinon on modifia son nom en un nom mythologique, habitude romaine pour un esclave au nom imprononçable - l'aidèrent à organiser la mutinerie (pour Appien que suivent Yann le Bohec et Jérôme Carcopino, c'est après la fuite du ludus qu'ils accompagnent Spartacus provenant d'autres ludus). Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !Leurs armes ayant été confisquées, soixante-treize gladiateurs s'enfuirent, cependant, avec lui, et quelques femmes ; ils ne se dispersèrent pas, comme dans les cas précédents d'évasion, peut-être à l'instigation de Spartacus, pillèrent des armes, dispersèrent la police de Capoue et se retranchèrent sur la forteresse naturelle que constitue les pentes du Vésuve, après avoir traversé la Campanie " qui a échappé au redécoupage territorial prévu par les lois (agraires) de Tiberius et Caius Gracchus (...) au profit des citoyens les plus pauvres, (...) partagée en domaines agricoles (latifundia), appartenant à l'aristocratie sénatoriale " (Catherine Salles, in id., p. 43). Ce qui va expliquer les ralliements qui suivront et le succès des débuts de la révolte, d'autant que cet événement ne constituait à ses débuts pour les romains qu' " un fait divers (...) apparemment sans conséquences graves, et en d'autres circonstances, (...) en serait certainement restée au stade de simple incident local dont nos sources ne nous auraient pas gardé la moindre trace. " (Jean-Paul Brisson, Spartacus, CNRS Editions, Paris, 2011, p. 197-198.) " En gagnant le Vésuve, il s'agissait avant tout de s'assurer un refuge pour s'aménager l'avenir (...) ; ils (les esclaves fugitifs) pouvaient se cacher dans les forêts et résister, grâce au terrain à d'éventuelles poursuites " (Jean-Paul Brisson, id., p. 199) et donc s'organiser et élaborer un plan.
 
La régularité des cycles est, ici, surprenante : en 70 ans, chaque génération d'esclaves eut son insurrection. Et la répétition de la coïncidence avec des difficultés politiques et militaires de Rome est singulière :  cette fois, la piraterie triomphante révélait l'incapacité du gouvernement romain à maintenir l'ordre à un moment où les légions, commandés par ses deux meilleurs généraux, Pompée et Lucullus, se dispersaient sur de lointains théâtres d'opération, accaparées par la révolte de Sertorius, en Hispanie, Une volonté de liberté contre la domination romaine : la guerre de Spartacus !et par le conflit avec Mithridate VI Eupator, roi du Pont, en Orient, comme Appien, déjà, ne manquait pas de l'observer (Guerres civiles, I, 115-116), et désarmaient une Italie qui " se remet lentement des guerres civiles ", où demeuraient vivaces certains mécontentements, nés des brutalités de la guerre sociale (90-88) et des guerres civiles, chez les plus pauvres des Italiens libres, et " Un peu partout sévit le brigandage : en 76, un préteur publie un édit pour réprimer la violence des bandes armées. " (Jean-Louis Voisin, Rome décrète l'état d'urgence, in id., p. 55.) Dans ce cas,  comme l'a bien démontré Catherine Salles " la guerre de Spartacus n'est qu'un épiphénomène de la lente dégradation de la démocratie romaine " (73 avant J.C, Spartacus et la révolte des gladiateurs, Complexe, 2005). Mais " l'insurrection qui éclate (...) a été fortuite, sans longue préparation concertée. Ce qui explique les flottements  qui apparaissent dans le déroulement de la guerre qui va suivre. " (Les fugitifs s'organisent, in id., p. 42.)
 
Tags : Histoire
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#Posté le lundi 11 février 2013 06:51

Modifié le mardi 20 août 2013 10:39

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saphira-dragonniere, Posté le dimanche 21 juin 2015 04:13

@ Ton article est vraiment très bien construit c'est une Histoire très intéressante @ J'aime beaucoup @


espritdelalouve, Posté le dimanche 21 juin 2015 00:31

superbe article


lucinda-et-lestat-vampir, Posté le samedi 20 juin 2015 12:41

bel article sur cette guerre mon ami
bisous


taigong788, Posté le samedi 20 juin 2015 11:34

La révolte de Spartacus se porte dans un contexte assez tendu pour Rome qui vient d'en finir avec la guerre civile, qui se satisfait du système d'esclavage à travers les latifundia et les écoles de gladiateurs, sans pour autant voir arriver une révolte qui durera 3 ans, d'où émergera un grand chef de guerre Spartacus. La pauvreté et la misère seront les facteurs essentiels de la révolte de ce gladiateur sans doute de sang noble. Un événement très intéressant qui montre que l'histoire réserve des surprises.
Merci !


taigong788, Posté le mardi 20 août 2013 12:46

Les images sont très bonnes et elle donnent un apport supplémentaires à l'article.
Merci !


taigong788, Posté le mardi 20 août 2013 12:44

Excellent article qui montre la situation des esclaves, de Rome, mais aussi des révoltes des esclaves qui on toujours un critère religieux pour expliquer la révolte de Spartacus, un très bon meneur d'homme. Les parties sont bien séparés et passionnent vite. La suite sera très intéressante.
Merci !


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